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10 avril 2019 3 10 /04 /avril /2019 19:58

Toujours plus où moins à cette période (Voir les articles Mes Influences 2, 3, 4), je suivais avec un fanatisme religieux les aventures d’Hercules, incarné par KEVIN SORBO.

Déjà curieux de mythologie, je récitais les principaux dieux de l’Olympe à ma mère et leurs histoires. Il y a eu aussi la série Xéna la guerrière mais c’était plus du loisir. Pendant longtemps Xéna a représenté un idéal féminin, tant physiquement que psychologiquement, au moins jusqu’à mes 13 ans. Ma femme aussi est une belle brune aux yeux bleus. Allez savoir, peut être qu’il existe des correspondances qui me sont inconnues. 

La série Hercules a très certainement était un terreau posant les définitions de l’amour, de l’altruisme et de la justice. Hercules était un peu mon modèle, mon héros. Malheureusement, je savais que je ne serai jamais un demi-dieu en grandissant. Il fut malgré tout, pendant longtemps, un idéal.

Je suis certains que c’est une série fondatrice de ma façon d’être et de penser. Elle a semé des graines comme l’honneur, la bonté, la justice.  Et puis, se basant sur notre mythologie, que je prenais pour vrai étant enfant, j’aimais avoir ce semblant de vérité. Ce qui est aussi très étrange, c’est que je me suis toujours senti (et encore aujourd’hui) appartenir à ces époques lointaines. Je n’irais pas à dire que j’y ai déjà vécu mais, je ressens une certaine forme de nostalgie qui va au-delà du « j’aurais aimé vivre à cette époque ».

Occasionnellement, je retombe sur des épisodes et j’ai beaucoup de mal à décrocher. J’ai eu plusieurs fois l’envie de tous les revoir.

 

Toujours, cette série m’émeut et il me suffit d’entendre le générique, ou de me le réciter, car je le connais, pour susciter simultanément un bonheur et une tristesse. C'est ce que je fais d'ailleurs quand j'ai besoin de ressentir quelque-chose avec intensité. C'est comme une ancre émotionnelle.

C’était des moments heureux, partagés avec ma mère, que j’aimerais revivre parce qu’ils appartiennent désormais à la rêverie. Je m’y plonge parfois et me rends compte que j’ai eu beaucoup de chance.  Je vous ai mis le lien pour les curieux ou les nostalgiques du générique (voir supra).

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